On sait, ça suffit ! de Robert Ortéga

Ce roman est protégé par les droits d'auteur

on sait  sa suffit roman de Robert Ortega
Synopsis


Cette histoire est celle d’une tranche de vie. A peine romancée, elle se situe dans la période folle de l’après guerre 39-45 où la jeunesse a tout juste le temps de s’exprimer, qu’elle s’enfuit. Le décor pourrait être celui d’un théâtre. Il est tout simplement celui d’un quartier chaud, dans une ville qui ne l’est pas moins, Marseille.

Dans ce théâtre, les adolescents y sont les principaux interprètes. A cause de l’inscription sur leurs tickets de rationnement, on les appelait les J3. Très tôt, ils avaient compris ce qu’il fallait dire ou non, mais l’un d’eux va aller au bout de son fantasme. Son adolescence s’envole dans une folle aventure où, au risque de ne plus être lui-même, il tente l’impossible. Ce que seule la jeunesse peut oser.

Il y laissera ses illusions juvéniles pour acquérir le privilège d’être un homme.
Certains seront choqués, peut-être incrédules, par ce qu’ils vont découvrir, pour peu qu’ils n’aient jamais vécu d’aussi près cette réalité que l’on nomme un mal nécessaire : la prostitution !


La vie oblige parfois un passage réel, un chemin d’incertitudes, à des heures fortes.
On ne choisit pas sa naissance. Elle se confond dans un décor par une honnêteté naïve, une acceptation qui la rend presque heureuse parce que tout devient naturel. Faire son éducation dans un quartier chaud n’est pas chose facile !
Heureux sont ceux dont les racines y sont enfouies !

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Préambule

Ceci est un roman, mais comme il m’est impossible de rester indifférent à la lecture de ma mémoire, tout ce qu’on va lire a existé ou presque. Mon histoire emprunte des chemins vrais, emplis de réalités et à des heures fortes. La réalité n’a que faire de longs discours. On sait, ça suffit ! Mon père aurait voulu raconter, le temps lui a manqué. A travers l’éternité son esprit guide ma plume. Quant à mon quartier, mes racines, vivant d’un mélange d’amour et d’horreur, il est, comme il se doit, l’écho de mon enfance.

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On sait, ça suffit !

Robert Ortéga

Ce roman est protégé par les droits d'auteur

- Août 1944, en haut de la Canebière…rue Curiol. Page   1
- Et les vieux quartiers de Marseille vivent leurs dernières heures ! Page 9
- Marseille est devenue folle, elle craque, elle explose. Elle est libérée ! Page 21
- Ce n’est pas la tour de Babel.  Ce n’est pas un ghetto.  Ce sont mes racines.  Page 27  

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- La réalité a besoin d’être complétée par la fiction pour  rendre la vie plus facile.  Page 36
- Après la tempête, le calme revenu, il faut reconstruire.Page 42                                      
- La relativité des comportements... la vie.   Page 50  

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- La jeunesse et ses distractions embellissent nos mémoires. 
Un jeu, sur fond de tragédie humaine. Page 56 
- La chemise de soie aux initiales brodées.   Page 64 
- Le voyage dans la voiture de la Toussaint.  Page 71

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- Cet esclavage qui, paraît-il, est le plus vieux métier du monde. Page 78
- Lorsqu’on sait, il y a des jours où ça ne suffit pas ! Page 84

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- Les convictions, les amours, les  choix, ainsi vont les choses évoluant par chemins détournés.  Page 102
- Rien n’est plus fort qu’une frustration qui remonte de l’enfance. Page 112
- Au cœur d’un antagonisme, cela s’appelle prendre la forme de l’angle du mur.  Page 121   

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- La vie prend son temps à programmer ses échéances. Page 138
- Il n’est pas facile de jouer dans la cour des grands ! Page 150

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- On ne change pas de peau à peu de frais !  Page 196                 

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- Cette profession où les fautes se paient très cher. Page 200
- Moi ? Il y a longtemps…j’ai essayé. Page 220

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Bibliographie


- “ Ça s’est passé à Marseille ” de Jean Contrucci. Editions Autres Temps.
- “ La prostitution que peut-on faire ? ” de Marcel Sacotte. Editions Buchet/Chastel.
- “ Libération de Marseille - Prise de Notre Dame de la garde ” de Roger Audibert. Imprimerie La Pensée Universelle - Aix en Provence.
- “ Cinquantenaire du débarquement ”. Conseil général des 13. Archives départementales des 13.
- “ Marseille sur scène ” de Jean Bazal, Marcel Baudelaire, Adrien Eche. Editions des 4 Seigneurs - Grenoble.
- “ Le clan des Marseillais ” de Jean Bazal. Guy Authier Editeur
- “  Marseille naguère ” de Gérard Detaille. Editions Payot.
- “ Marseille ville de mon enfance ” de Jean Tourette. Imprimeries Réunies S.A - Lausanne (Suisse)
- “ Et le vieux port fut condamné ” Vidéo.
- “ Les rues de Marseille ” par A. Fabre.

Commentaires

1. Le samedi 15 octobre 2022 par Marie-Ange

Enfin je l’ai fini.

Il se laisse lire, ce ne deviendra pas best seller mais sait-on jamais.

Le livre retrace un tranche de vie autour des année 45 d’un enfant de la rue Curiol, rue mythique en son temps avec la Canebière qui n’est plus que l’ombre d’elle même.

A lire.

PS : pouvez-vous enlever le filagramme, il devient pénible à la longue ;

 

Bonjour,

Merci pour votre message.

Sur les prochains écrit il n'y aura plus de filigramme.

Antoine

 

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